Sous la falaise le ciel est rouge : témoignages et réactions

Françoise D. : Félicitations Michel, moi qui n’aime pas particulièrement lire, je me régale avec ton chef-d’œuvre, j’adore ! Bravo pour tes poèmes, il faut avoir l’idée et surtout comme tu dis si bien, faire danser les mots.

Jocelyne T. : Je dévore ton livre. Moi, qui n’avais pas lu de livre depuis un an (santé). Je me sens concernée par la partie Fontainoise Sassenageoise. Que de personnes que j’ai bien connues! Rémy B. était un ami, mon mari a travaillé à Cometra, avec lui.
Suite de ma lecture. Je connaissais bien M. Noël C. ainsi que sa maman. Jérôme a été mon ancien élève. J’ai eu de ses nouvelles, par son papa, quand Rachel a commencé sa formation d’ATSEM, qui ne correspondait pas à ses études. Félicitations

Valène P. : Bonjour, je suis au chapitre « premières vacances »…bouleversant….cette enfance à la fois difficile de part la dureté de la figure paternelle…un certain inconfort et la dureté du monde du travail. Et pourtant un rien amusée cette jeunesse…quelques cailloux et cartons et hop. Quand on voie la jeunesse actuelle et ses caprices. Je suis en pleine lecture…les pages avancent comme la vie de ce jeune garçon a avancé….on apprend tellement de cette époque…de cette jeunesse qui à mon sens malgré les difficultés et le manque de confort avait tout pour devenir de vrais hommes avec une vrai morale. Bien plus dure maintenant d’élever nos enfants car la société est bien différente. On s’ennuie pas en lisant ce livre, on vit ces moments avec ce jeune garçon.

Philippe R. : Mes parents ont bien reçu le livre dédicacé. Ils te remercient. Ma maman est vraiment contente de ce joli cadeau. Surpris et ravi que tu cites l’histoire de l’escalier chez eux dans ton livre. Merci encore et j’espère que ce livre rencontrera un franc succès !

Céline J. : Au bout de quelques pages seulement mes larmes ont déjà coulé. Prendre conscience de la vie dure qu’ils ont eu, ma mère mes oncles et tantes, et comprendre à 32 ans certaines réactions de ma mère. Comprendre pourquoi elle s’est tant battu pour qu’on ne manque de rien. Vraiment, je voulais te remercie pour ce livre qui m’apprend beaucoup sur notre famille. J’avoue être avide d’en savoir encore plus sur des détails. Mais c’est trop chouette alors merci.
Ce livre me dit qu’on a beau chacun écrire son histoire, finalement elle découle un peu de l’histoire familiale. Tu as été au domaine Chevalier, là où Mallory a fait son apprentissage.
Tu étais investi auprès des personnes handicapées à l’hospice, j’y ai travaillé des années et dans ce même service.
Tu as été dans les lignes téléphoniques comme Yannick aujourd’hui. Tu as habité à Feillens et maman sans le savoir nous a emmenés habiter là-bas….
Pour moi dans la vie il n y a pas de hasard, mais je ne pensais pas que nos histoires de vies pouvaient être aussi liées. C’est fou !!!
Franchement bravo c’est très chouette. Hier j’ai du m’obliger à aller me coucher tellement je n arrivais plus à décrocher du livre.

Evelyne O.B.: Bravo Michel pour ce livre que je continue à lire !! Je connaissais ton côté engagé politique et je découvre un homme amoureux et tendre.

Jean-François B. : Je lis ton super livre avec passion car je retrouve beaucoup de point commun entre nos deux cheminements.

Anne-Marie G. : Livre offert gracieusement par ma camarade et amie Josiane A, pour mon anniversaire. Je m’y suis engouffrée ! Ta vie : un grand souffle renversant d’énergie, de créativité …. depuis ta naissance! Merci de nous le communiquer.

Françoise P. : Je viens de terminer la lecture de ton livre où tu exprimes la véritable Éthique de ton être. Je rejoins Albert Camus dans l’Étranger « nous ne naissons pas forts, faibles ou volontaires, nous devenons forts, nous devenons; lucides ». Ton cheminement personnel parfois caillouteux s’est poursuivi pas à pas grâce à ton élan vital, pour découvrir avec patience et humilité un savoir-faire, un savoir-être.
Ton engagement humain et politique montre ton courage et ta combativité. Tes multiples analyses politiques précises sont lucides et précieuses. La mémoire est-elle un réservoir de bonheur ? Oui, je pense qu’elle participe à la conquête de soi et à la liberté.
Partager le bonheur de chaque instant avec ceux que nous aimons est primordial. Certains passages poétiques de ton ouvrage m’ont émue. Montaigne aimait dire « c’est chose tendre que la vie et aisée à troubler. »

Michel D. : Quelle étrange sensation de tenir ce livre entre mes mains ! De la curiosité – Oui – mêlée avec une certaine émotion, car la vie que tu nous racontes a croisé la mienne et après un survol de quelques pages, un flot de souvenirs rejaillit, quelle richesse !

Martine B. Suite à une conversation téléphonique écrit: Sandra a commencé la relecture des écrits de son père, pour des corrections à apporter. Ce ne sont pour l’instant que les premières pages du livre, mais ce début l’a retournée. Elle connaissait ce que ce papa révélait de son enfance, mais lorsque l’on parle de soi, le récit se focalise sur un moment précis de sa vie, à un moment donné. On fractionne, on choisit selon l’instant présent. À ses enfants, on raconte les jeux d’enfants, les choses plutôt gaies. Plus tard, les décès. Ici les lignes allongées racontent la chronologie de l’histoire familiale, la mise de bout en bout de sa vie. Sandra reste émue. Les mots, les phrases, lui apparaissent claquants, forts. Elle reste saisie par les détails précis de cette dure enfance. Elle dit mieux comprendre certaines réactions de son père. En discutant avec Michel au téléphone, des émotions qu’elle ressent, je vois que Michel a les yeux mouillés, les larmes ne coulent pas, mais l’avis de sa fille le trouble.

Josy et Claude B. Qui aurait imaginé que tu étais, Michel, au PÉROU, en train d’écrire ta biographie  ? En tous cas pas nous deux. Ta modestie nous a bluffés  !  !  !

Merci de nous avoir fait partager (agréablement) tes joies, tes peines, tes sentiments, et surtout de comprendre ton courage, ta ténacité dans tes multiples situations. Il fallait « avoir les pieds bien sur terre » pour rester pratiquement toujours dans l’opposition, subir les exactions de la Mairie de Sassenage tout en apportant, malgré tout, des pierres à l’édifice quoique en pense le Maire et ses Conseillers. Félicitations aussi pour ta mémoire de toutes ces années bien décrites, chiffres à l’appui.

Ton livre est aussi gros que ton cœur :  Bravo Michel  !

Michèle P. (Canada) : Moi qui l’ai reçu dans mes terres froides, je vous en recommande la lecture. Comme toujours, Michel est modeste : ce n’est pas seulement sa personnalité, dont on découvre l’immense générosité, mais aussi son histoire parfois triste et sa superbe résilience. C’est un témoignage qui devrait intéresser les historiens. Et, ce qui ne gâte rien, c’est fort bien écrit (Foi de prof de français!)

Géraldine P.  : Ton livre m’a beaucoup ému sur toute la première partie avec les épreuves et difficultés que tu as traversées…pour devenir la personne que je connais aujourd’hui et que j’apprécie beaucoup.

Stéphane P. : Un livre passionnant à lire …Des dates…une mémoire…

Jean Giard : Ton livre m’a beaucoup intéressé

Bernadette P. :J’ai lu avec beaucoup d’intérêt et de plaisir ton livre mémoire ; quel parcours !et surtout une vie riche et fondamentalement tournée vers la  Justice ; l’Égalité et la Fraternité la devise française que tu as fait tienne au long de ta vie. Merci pour ton investissement à la mairie qui a bien besoin d’altruistes !!

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Réédition du livre : Sous la falaise le ciel est rouge

Le livre autobiographique de 680 pages écrit par Michel Barrionuevo qui aborde son enfance en Algérie jusqu’en 1962, la période métropolitaine, d’abord en Creuse jusqu’en 1963 puis dans la Saône et Loire jusqu’en 1969, vient d’être réimprimé.

Cette histoire se poursuit avec son service militaire à Madagascar en 1970, la quille !

L’Isère sera la destination de son noviciat franciscain à Saint Martin le Vinoux en février 1971. Il fait le choix d’adhérer à la CGT et de militer syndicalement.

En mai 1974, il adhère au PCF et se lance dans l’action militante.

En mars 1977, il est élu Conseiller municipal de Sassenage, il accomplira 173 trimestres de mandat municipal dont seulement 23 trimestres en qualité d’adjoint au Maire, les 150 trimestres supplémentaires, il sera un bénévole élu.

L’histoire décrite dans le livre est ponctuée d’une partie de ses poèmes resitués dans le contexte de cette vie.

Après le bel article de Chrys Dias publié dans la rubrique Sassenage du Dauphiné Libéré du 14 juillet 2020, pour promouvoir le livre, des annonceurs ont accepté gratuitement à ma demande de relayer l’information, je les remercie !

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Le site Sassenage.net change !

En 2007, j’ai acquis  le domaine sassenage.net.

Ce site sera utilisé pour animer la campagne des élections municipales de mars 2008 pour la liste conduite par Chantal Duranton.

Par la suite, j’ai publié les prises de position de l’opposition de gauche, lors des séances du Conseil municipal, de la publication d’informations.

Cela sur les deux mandats de 2008 à 2014 et de 2014 à 2020.

Le groupe Agir pour Sassenage a choisi de cesser son expression sur le journal municipal  » Sassenage en Pages » à l’été 2019.

Le dernier compte-rendu commun d’un conseil municipal est celui de juin 2019.

Après 173 trimestres en qualité d’élu de la commune de Sassenage, je n’étais plus présent sur la liste d’union du second tour.

Ce site ne plus continuer la mission qui aura été la sienne durant une douzaine d’année.

Les compte-rendus réalisés contiennent des éléments valides, des pistes de réflexion que j’ai tenu à préserver en les regroupant dans une colonne « Archives ». Ce site continuera d’exister, des articles et des pages accompagneront le blog de la Société mycologique de Sassenage. J’ai écrit un livre intitulé « Sous la falaise le ciel est ROUGE », ce site assurera sa promotion.

Bienvenus dans cette nouvelle aventure !

Michel BARRIONUEVO

Le livre Sous la falaise le ciel est rouge est disponible

J’ai terminé l’écriture de mon livre, juste avant la période de déconfinement : Sous la falaise, le ciel est rouge !

Au fil des 680 pages de ce livre, je dévoile mon cheminement en partant de la ville de Sidi-Bel-Abbès où je suis né, mon enfance, mes jeux (les pignols), mais aussi la guerre.

Bon élève, la vie, ne m’a pourtant pas permis d’aller à l’école longtemps, et le fainéant de 11 ans a commencé à travailler à l’heure du passage à l’adolescence.

C’est sur le pont du bateau, « l’El Mansour » assurant le transport entre Oran et Port-Vendres que j’ai imaginé mon premier poème « Maudite Guerre »

À partir de ce moment-là avec les mots, Pour exhorter la dureté de l’existence, j’ai utilisé l’arme de la poésie.

Dans ma jeunesse, j’étais ouvrier et en même temps, religieux franciscain.

Rien ne me prédestinait à devenir un militant syndical et politique.

Pourtant en 1971, j’adhère à la CGT et rapidement je réponds favorablement aux responsabilités.

J’adhère au Parti communiste français en 1974, au retour d’un meeting d’entre-deux tours de la présidentielle.

Lorsque je prends un engagement, je m’investis totalement.

C’est à la fois une qualité, mais aussi un défaut, je ne sais pas dire Non, ou si peu !

Je suis très famille et pourtant par moments, je n’ai pas toujours pu ou su donner une importance primordiale à la vie familiale !

Je suis obstiné, je ne dis pas, je ne sais pas faire, je tente.

Autodidacte, j’apprends beaucoup au contact des autres en essayant d’écouter avant d’exprimer mon opinion.

Mon raisonnement ne m’a pas été enseigné, à partir de mon vécu je construis des logiques qui souvent décontenancent ceux qui tiennent le savoir à partir d’études.

Sassenage est devenue ma ville, depuis 43 ans, j’ai beaucoup donné pour elle !

Je me suis investi dans tous les dossiers et sur beaucoup de points j’ai fait preuve de lucidité.

À la société mycologique, je suis la plume des sorties.

Sous la Falaise, le ciel est Rouge.

Cette Falaise située à 230° Sud-Ouest, a accompagné et accompagne ma vision à partir des balcons du Floréal en 1974 et de la Résidence du Parc à Sassenage. Le rouge est à la fois la couleur du sang indispensable à la vie et aussi celle des Luttes.

Communiste depuis 46 ans, mon cheminement côtoie la vie de ce parti qui cette année fête son centenaire.

Avec ce livre, disponible à la fois sur le site TheBook Edition, j’ai voulu rester entier, me montrer sous toutes mes facettes, me dévoiler.

En commandant à partir de ce site, le prix du livre sera, livraison comprise pour la France de 26 euros. Chèque à m’adresser au 17 Avenue de Romans 38360 SASSENAGE.

Les hommages d’élus de notre groupe suite au décès d’Anne-Marie Astier

annemarieastierC’est avec beaucoup de tristesse que j’ai appris ce jour la disparition d’Anne-Marie Astier des suites d’une longue maladie. Créatrice et directrice de l’école de danse « Corps et graphie » depuis 1989, Anne-Marie a su transmettre sa passion de la danse à des centaines de Sassenageois. Je garderai à jamais en mémoire l’image d’une battante, d’une combattante, d’une femme de projet et d’action, pleine d’énergie. Malgré sa maladie et les obstacles, elle gardait toujours ce qu’elle appelait sa « positive attitude ». Elle va terriblement manquer à Sassenage, à la danse, à ses proches et amis.

Yannick Belle

Je viens d’apprendre le décès de Anne-Marie Astier, directrice de l’école de danse « Corps et Graphie ». Anne-Marie a combattu avec courage, pendant de nombreuses années sa maladie mais le cancer a été plus fort.

La qualité du travail qu’elle a fait pour cette association était remarquable, son investissement colossale.
Corps et Graphie est l’une des meilleurs écoles de danse de l’agglomération, grâce à Anne-Marie et à son équipe.

Cette association était tout pour elle, elle disait que c’était son « bébé ». Elle était rigoureuse, exigeante mais le résultat était là, de la qualité sans oublier le plaisir des danseurs.

Nombreuses sont les petites danseuses sassenageoises (et quelques danseurs) qui auront été marquées par le passage dans cette école et ne pourront oublier ces moments, la qualité des galas de danse, le professionnalisme des enseignants. Moi même, en tant que parent, ces galas de danse font partie des bons souvenirs de l’enfance de mes filles…

Je pense à elle

Florence Parvy

Je suis bouleversé par cette nouvelle ! Le 3 octobre dernier, Anne-Marie Astier m’écrivait : « Bonjour mon très cher Michel

Il y a longtemps que je n’ai pas donné signe de vie et je m’en excuse ..

j’espère que tu vas bien toi et ta compagne …

Pour info …nous avons rencontrer les élus pour notre baisse de subvention …normalement elle ne devrait pas bouger en 2016.. c’est ce que nous avons obtenu… à voir si cet engagement sera respecté..
Par ailleurs je t’ informe que mon état de santé s’est hélas dégradé, j’ai des métastases sur la moelle épinière ..j’ai perdu l’usage du pied gauche ..et par conséquent je ne peux plus conduire.. Comme d’habitude je vais continuer à me battre positif attitude…mais c’est un autre combat cette fois à un autre niveau..

je t’embrasse très fort mon très cher Michel

Anne Marie ASTIER »

Je n’ai pas su trouver les mots pour l’aider et lui donner plus de force dans ce combat : cette situation m’a replongé l’année où Anne-Marie est venue animer l’école de danse, en 1989. A ce moment là je donnais ma moelle,pour tenter de sauver ma sœur d’une leucémie,  et cela n’a pas suffit pour assurer sa guérison.

Anne-Marie, artiste chorégraphique dans plusieurs disciplines, avait la danse dans le sang. Elle avait un tempérament de battante. Lorsque le Maire de Sassenage décida de s’attaquer à ses passions, elle viendra me demander de soutenir dans un premier temps, les rencontres sassenageoises de la danse, d’où mon intervention lors du Conseil municipal du 13 décembre 2004. Et puis ce tableau montrant le prétexte utilisé contre l’association publié sur le premier site des élus communistes de Sassenage.

Après les Rencontres sassenageoises de la danse, le Maire tente de discréditer Corps et Graphie, pour le Sassenage en Pages de l’été 2006, notre billet aura pour titre : Veut-on tuer Corps et Graphie ?

Lors du Conseil municipal du 26 février 2007, ce combat commun avec la Directrice de Corps et Graphie finira par être payant, voici mon intervention.

L’engagement d’Anne-Marie et des membres des associations aura permis de pérenniser la danse, avec la poursuite des festivals de Hip Hop, grâce aux Rencontres de la danse en Isère, le rayonnement de Corps et Graphie.

Ces deux associations sont en deuil et j’adresse à toutes familles adhérentes et actrices des événements, toutes mes condoléances.

A son compagnon, en plus de mes condoléances sincères, je veux redire combien Anne-Marie était exceptionnelle, au fil de ces 27 ans, elle a su transmettre des passions pour cet art de la chorégraphie et de l’expression corporelle à des milliers de jeunes, merci à vous pour ce soutien.

Michel Barrionuevo